samedi 24 décembre 2011
mercredi 14 décembre 2011
Bodega
Petite visite du village dans lequel Hitchcock a tourné ses Oiseaux. On ne s'y bouscule pas au portillon, les Américains semblent avoir oublié qui était ce génie du suspense...Dommage! Le village est minuscule mais il s'en dégage un air encore lourd de mystère. Peut-être était-ce la couleur du ciel ce jour-là, les nuages bas, l'isolement du lieu ou bien les oiseaux qui, en cette saison, volent en...escadrilles?
jeudi 24 novembre 2011
What I am thankful for...
mardi 15 novembre 2011
lundi 14 novembre 2011
L'automne
J'adore la lumière de l'automne en Californie, une lumière ocre que je retrouve chaque été à Nice au coucher du soleil.
Malgré tout, c'est le Mid-West que je préfère en cette saison. Les couleurs du Wisconsin n'ont pas leurs pareilles (l'or et le rouge étincelants des feuilles d'érables ont bien plus d'effets que nos citronniers même chargés de fruits) ! Et puis, toutes les petites sensations qui nous rappellent que l'hiver approche me manquent férocement: le froid qui commence à mordre le bout des doigts, la condensation qui se forme aux premières paroles du matin, la plaisir de fourrer son nez dans une écharpe de laine, ce sentiment d'allégresse à l'idée de retrouver la chaleur de la maison le soir et de se pelotonner dans le canapé en sirotant son thé chaud.
Tout ça pour dire, qu'on attend un bon coup de gel, ne serait-ce que pour exterminer, une bonne fois pour toute, la colonie de puces que nos chats nous ont si gentiment refourgué et dont nous n'arrivons pas à nous débarasser...
Malgré tout, c'est le Mid-West que je préfère en cette saison. Les couleurs du Wisconsin n'ont pas leurs pareilles (l'or et le rouge étincelants des feuilles d'érables ont bien plus d'effets que nos citronniers même chargés de fruits) ! Et puis, toutes les petites sensations qui nous rappellent que l'hiver approche me manquent férocement: le froid qui commence à mordre le bout des doigts, la condensation qui se forme aux premières paroles du matin, la plaisir de fourrer son nez dans une écharpe de laine, ce sentiment d'allégresse à l'idée de retrouver la chaleur de la maison le soir et de se pelotonner dans le canapé en sirotant son thé chaud.
Tout ça pour dire, qu'on attend un bon coup de gel, ne serait-ce que pour exterminer, une bonne fois pour toute, la colonie de puces que nos chats nous ont si gentiment refourgué et dont nous n'arrivons pas à nous débarasser...
dimanche 13 novembre 2011
Troisième une fois de plus!
Cette fois, nous sommes venus rodés: Adèle avec son lecteur de DVD portable, JP et moi avec un roman à lire persuadés que cela durerait plus de 30mns...et oui, effectivement, la compétition a duré trois bonnes heures.
Noé était tellement fier d'arriver en demi-finale qu'il a quasiment sauté de joie à l'annonce de sa défaite: il allait recevoir une fois de plus le trophée tant convoité, le reste lui était bien égal. Il arborait un sourire si ravi de ses exploits que la maman a cru que son rejeton était passé en finale et lui de me faire la leçon: "Maman, il faut savoir se satisfaire de ce qu'on a!"
Noé était tellement fier d'arriver en demi-finale qu'il a quasiment sauté de joie à l'annonce de sa défaite: il allait recevoir une fois de plus le trophée tant convoité, le reste lui était bien égal. Il arborait un sourire si ravi de ses exploits que la maman a cru que son rejeton était passé en finale et lui de me faire la leçon: "Maman, il faut savoir se satisfaire de ce qu'on a!"
mardi 1 novembre 2011
Halloween 2011!
jeudi 27 octobre 2011
Rencontre
L'année dernière, j'avais rencontré Eléonore Faucher, la réalisatrice de "Brodeuses". Cette année, c'est avec Delphine Gleize que mes étudiants ont pu discuter. La réalisatrice de "La permission de minuit". Un très beau film qui ne sombre jamais dans le pathos, malgré son sujet difficile puisqu'on y parle d'une maladie incurable et ô combien cruelle, celle des enfants de la lune.
mercredi 26 octobre 2011
Walk-A-Thon
lundi 24 octobre 2011
lundi 10 octobre 2011
Camping à Santa Cruz!
Monterey
Rien de nouveau à Monterey. Nous prenons toujours beaucoup de plaisir à nous promener au bord de l'océan, à observer les phoques, les otaries, les ratons laveurs ou les pélicans, selon, et à déguster les pâtisseries de Paris Bakery.
La lumière de Monterey me rappelle celle de Cassis. La rue de la Sardine, elle, me donne toujours envie de relire Steinbeck et puis j'oublie jusqu'à la fois prochaine.
La lumière de Monterey me rappelle celle de Cassis. La rue de la Sardine, elle, me donne toujours envie de relire Steinbeck et puis j'oublie jusqu'à la fois prochaine.
dimanche 9 octobre 2011
Autour d'une tasse de thé
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